Renaissance des Cités d’Europe

Janvier/Février 2022Renaissance des Cités d’Europe Par Estelle Trotignon et Alexandre Médard, paru dans Le Mois Scientifique d’Aquitaine n° 425-426, p. 1-2. Télécharger et/ou imprimer le document

Les surprises de l’ORIGAMI

Novembre/Décembre 2021Les surprises de l’ORIGAMI Par Christine Casteran, paru dans Le Mois Scientifique d’Aquitaine n° 423-424, p. 1-2. Télécharger et/ou imprimer le document

Hommage à Jean-Paul CASSE

septembre/octobre 2021Hommage collectif de l’USA à son Président Jean-Paul Casse décédé le 26 avril 2021 Par Michel Casse et Jean-Mathieu Robine, paru dans Le Mois Scientifique d’Aquitaine n° 421-422, p. 1-5. Jean-Paul Casse Télécharger et/ou imprimer le document

Rovers sur Mars : toute une aventure !

mai/juin 2021Rovers sur Mars : toute une aventure ! Par Christine Casteran, paru dans Le Mois Scientifique d’Aquitaine n° 419-420, p. 1-3. Télécharger et/ou imprimer le document

Les corps francs de Gironde dans la guerre franco-prussienne (1870-1871). II – Les différentes unités

Mars/Avril 2021Pas que de l’infanterie légère L’immense majorité des corps francs sont de l’infanterie légère sur le modèle des chasseurs à pied ou des zouaves. Beaucoup de départements ont des éclaireurs à cheval. À Bordeaux, J. Lafitte ex-instructeur à l’École de Saumur habitant 29 rue Fondaudège, organise à partir du 12 septembre 1870 un escadron d’Éclaireurs girondins à cheval, avec Henri Robereau qui en prend le commandement. Le 25 octobre l’escadron passe sous l’autorité militaire et compte cent cavaliers. Il quitte Bordeaux pour Tours, le 5 novembre, remplit un service d’estafette et d’escorte autour de Vendôme, puis est attaché comme éclaireurs à la 3e division du XVIIe corps de l’armée de la Loire. Les 20 et 26 novembre l’escadron se bat à Brou et Illiers-Combray (Eure-et-Loir). Le 27 décembre il est à Montoire-sur-le-Loir (Loir-et-Cher). Le 8 janvier 1871, le capitaine Robereau et son sous-lieutenant sont tués au Temple (Loir-et-Cher) lors ... Lire plus

Les corps francs de Gironde dans la guerre franco-prussienne (1870-1871). I – Généralités

Janvier/Février 2021Outre l’armée d’active et la Garde nationale (mobile, mobilisée et sédentaire) une troisième composante participe à la défense nationale : les corps francs ou francs-tireurs. Le second terme pouvant désigner des unités spécifiques, le premier est préférable comme dénomination générique.   Les corps francs Ce sont des unités irrégulières, car constituées hors des autorités militaires. D’initiative privée, elles rassemblent des volontaires qui, théoriquement, doivent s’habiller et s’équiper, voire parfois s’armer (francs-tireurs Flower), à leur frais. Mais l’organisation ex-nihilo d’une unité de combat coûte cher et tous les volontaires ne sont pas issus des classes aisées, aussi subventions des autorités civiles et souscriptions publiques viennent à leur aide. Généralement elles élisent – à l’instar de la Garde nationale sédentaire – leurs chefs, déterminent leur uniforme. Ces troupes d’importances variables : quarante hommes pour les Francs-tireurs d’Abzac-de Verdier, cent quatre-vingt-quinze à deux cent pour la 1ère compagnie des Tirailleurs girondins, forment des ... Lire plus

In memoriam Louis Touratier

Novembre/Décembre 2020Louis Touratier – Monsieur Touratier – n’est plus. Louis Touratier Alors que la SEHA (Société d’écologie humaine et d’anthropologie) s’apprêtait à célébrer le 7 juillet 2020 le centième anniversaire de Louis Touratier, ce dernier nous a quittés le 9 juin, tout doucement, tranquillement, discrètement, comme nous l’avions toujours côtoyé, alors qu’il était un grand savant connu, reconnu et apprécié dans le monde entier. Il était sorti diplômé de l’École vétérinaire de Maisons-Alfort en 1946. Parfois, rarement, il lui arrivait d’évoquer les années de guerre qu’il y avait passées. À sa sortie de l’école, il intègre l’industrie pharmaceutique où il demeure les quatorze années suivantes et se spécialise en « recherche et développement », comme on dit aujourd’hui, sur les médicaments antiparasitaires. Il est vrai qu’il consacra sa vie à la lutte contre les parasites du bétail en milieu tropical, et plus précisément contre les trypanosomiases bovines dont il était devenu l’un ... Lire plus

Les Tirailleurs volontaires de la Gironde depuis Tirailleurs girondins (1er septembre 1870/mai 1871)*

(*) Cet article publié en rapport avec le voyage d’étude annoncé dans l’encadré, est la dernière partie d’un texte plus long sur les corps-francs girondins dans la guerre franco-prussienne, qui paraîtra dans une prochaine livraison. Septembre/Octobre 2020Les Tirailleurs volontaires de la Gironde, devenus par décision gouvernementale du 29 novembre 1870 Tirailleurs girondins, sont un corps-franc hybride, puisqu’il est aussi un corps spécial de la Garde nationale sédentaire de Bordeaux. Ceci justifie que Gibert, adjoint chargé des affaires militaires, puisse décider, fin novembre, que des renforts destinés à la 1re compagnie soient envoyés à la 2e ; et que la 3e compagnie soit dissoute par le Conseil municipal. Prémices et recrutement Le 1er septembre deux lettres sont adressées au chef d’état-major de la garde nationale bordelaise, Ordinaire de Lacolonge. Le premier, d’Henri Balaresque, suggère, le temps que la garde nationale soit organisée, de constituer en tirailleurs, avec une tenue noire à distinctive ... Lire plus

Plassac : vie et mort d’une résidence aristocratique de l’Aquitaine gallo-romaine

Mai/Juin 2020Cette construction a connu quelques transformations (dont une nécessitée par un incendie partiel) au long d’une existence qui paraît s’être maintenue jusqu’au IVe siècle. À cette époque, probablement dans les années 330-340 (c’est alors, semble-t-il, qu’ont été posés les décors peints de plafonds qui font l’objet de la présentation d’A. Barbet), la villa a été de nouveau reconstruite, mais sur un pied beaucoup plus modeste. Toutefois, dans les années 380-420, l’aile orientale – celle sur laquelle est établie l’église actuelle – a fait l’objet d’un aménagement souligné par l’emploi d’un sable de carrière rouge et de types de moellons caractéristique. Dans ce dernier état qui semble bien étriqué, on a cependant gardé la fidélité aux modèles architecturaux italiens (mais c’est alors général, au moins en Aquitaine), en particulier, les absides à pans coupés, puis en fer à cheval, où prennent place des lits de table en sigma, quoique les ... Lire plus

À la villa gallo-romaine de Plassac (Gironde) ; aspects archéologiques

Mars/Avril 2020Nos lecteurs ont parcouru dans le dernier Mois Scientifique d’Aquitaine (n° 405-406) le compte rendu de la sortie inter-sociétés organisée dans le secteur de Plassac le samedi 4 mai 2019. Au sein d’un programme varié, un des points importants était la visite du site archéologique de Plassac et de sa belle villa gallo-romaine. Voici la première des deux contributions sur ce domaine aristocratique, donnant un point de vue moderne sur son histoire, présentées par deux brillants archéologues qui furent nos guides lors de cette visite. I - Les peintures romaines de Plassac : de Pompéi à Trèves par Alix BARBET, directrice de recherche honoraire du CNRS [] (1) avec la collaboration d’Hélène Silhouette, assistante d’études à l’Inrap C’est à l’occasion d’une mise en valeur de la villa de Plassac, pour laquelle il m’avait été demandé de revoir la présentation des peintures murales dans le musée, que nous avons retrouvé des fragments ... Lire plus