Archéologie A 18 h : Intervenant et sujet seront précisés prochainement…

Archéologie A 17 h : Marianne Thauré, « Les plates-tombes protestantes de Saint-Macaire ».

Archéologie A 17 h : Pierre Lucu, « Sur les traces d’Emilien Piganeau (1833-1911), aux alentours de Saint-Emilion ». Emilien Piganeau, enfant du pays comme il se définissait, infatigable marcheur, s’est beaucoup intéressé au sept autres villages de la juridiction de Saint-Emilion. Aucun détail n’ échappait à l’œil avisé de notre dessinateur archéologue. Parmi ses dessins dont certains sont de simples croquis , figurent les uniques témoins de monuments disparus. De ce pèlerinage accompli avec une persévérance et un courage digne de l’Antiquité, est sorti son Essai de répertoire archéologique du département de la Gironde. Co-fondateur de la Société Archéologique de Bordeaux et de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Saint-Emilion, membre du conseil municipal de la cité à trois reprises. Il porte sur la juridiction à la fois le regard d’un expert, celui d’un artiste et celui d’un homme impliqué dans la vie de ce territoire.

Archéologie A 17 h : Philippe Maffre, « Un mariage au long cours – Zélie Laclotte et James Dillingham ».

Archéologie A 17 h : Olivier Vitrac, « La synagogue de la rue Causserouge à Bordeaux ».

Archéologie A 18 h : Olivier Vitrac, « La synagogue de la rue Causserouge à Bordeaux ». Au début du XIXe siècle, les minorités religieuses de Bordeaux bénéficient enfin de la pleine égalité de leurs droits, comme celui du droit du culte. La première synagogue consistoriale s’élèvera à Bordeaux en 1812 après presque deux ans d’un chantier épique sous la direction de l’architecte Corcelle. La vie spirituelle de la communauté s’articulera autour de ce monument, car s’en était un, pendant près de soixante dix ans. Jusqu’à ce tragique incendie de 1873. Cette présentation permettra la découverte d’un ensemble de dessins d’architecte d’époque inédits.

Archéologie A 18 h : Jean-Pierre Méric, « De l’église abbatiale de La Sauve à Saint-Eloi de Bordeaux : les tribulations d’un “mobilier national” liturgique (1796-1865). » En 1770, les moines de La Sauve-Majeure commandent du peintre toulousain François Valentin Gazard, un Saint Gérard  consacrant son abbaye à la Vierge Marie. A quoi ressemblait la décoration du sanctuaire de Notre-Dame de La Sauve à la fin du XVIIIe siècle ? Comment ce tableau, qui trônait au-dessus du maître-autel arrive-t-il à l’église Saint-Eloi de Bordeaux à la fin de la Révolution ? D’ailleurs cette peinture était-elle la seule épave du mobilier de l’église abbatiale dans l’ancienne chapelle de la Jurade ? On prétend que non. Mais encore…

Archéologie A 18 h : Laurent Guyard, Responsable du Centre d’archéologie préventive de Bordeaux Métropole, « Actualité de l’archéologie métropolitaine ».

Archéologie A 18 h : Intervenant et sujet seront précisés prochainement…

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